Gérer la charge mentale et booster son énergie sans culpabiliser
Tu connais cette sensation où ton cerveau ne s’arrête jamais ? Une liste de choses à faire qui tourne en boucle, des responsabilités qui s’empilent, et cette impression d’être coincée dans une roue qui ne s’arrête jamais…
Moi aussi, j’ai vécu ça. Pendant longtemps, j’ai essayé d’être sur tous les fronts, de tout gérer, d’être disponible pour tout le monde. Jusqu’au jour où j’ai compris une chose essentielle : si je continue comme ça, c’est mon énergie qui va lâcher en premier.
Alors, j’ai pris une décision radicale : j’ai fait la grève.
Dans cet article, je vais te partager les clés qui m’ont aidée à reprendre le contrôle sans m’épuiser. Et si tu veux aller plus loin, tu peux télécharger mon guide gratuit sur les pratiques anti-fatigue naturelles, qui regroupe des astuces simples et efficaces pour retrouver ta vitalité au quotidien.
1. J’ai fait une pause (et j’ai arrêté de tout encaisser)
La première chose que j’ai faite, c’est de m’arrêter. Complètement. Pas juste ralentir, mais appuyer sur pause.
J’ai pris une journée pour moi, où je n’ai rien fait d’utile.
Pas pour faire du rangement, pas pour organiser ma to-do list, mais pour ne rien faire. J’ai pleuré (beaucoup), j’ai laissé sortir toutes les émotions bloquées à force d’accumuler.
Et tu sais quoi ? Ça m’a fait un bien fou.
Pourquoi c’est essentiel ?
Parce qu’on ne peut pas prendre du recul quand on est constamment dans l’action. Cette pause m’a permis de voir les choses avec plus de clarté et de remettre en question ce qui me pompait réellement mon énergie.
2. J’ai mis noir sur blanc tout ce que je faisais
Une fois la tête un peu plus légère, j’ai pris un carnet et j’ai fait l’inventaire de tout ce que je faisais au quotidien :
- Dans ma vie professionnelle
- Dans ma vie personnelle
- Dans ma charge mentale invisible
Face à chaque tâche, j’ai mis un « + » si elle me nourrissait, un « – » si elle me vidait de mon énergie.
Le verdict était clair : je m’épuisais à force de faire des choses qui ne me faisaient plus vibrer.
Prendre conscience de ça a été une révélation.
3. J’ai commencé à dire NON (et à déléguer)
Dire non, c’est difficile quand on a pris l’habitude de tout gérer. Pourtant, c’est indispensable.
J’ai regardé ma liste et j’ai choisi :
- Ce que je pouvais arrêter de faire sans conséquence.
- Ce que je pouvais faire autrement pour que ce soit plus fluide.
- Ce que je pouvais déléguer (même si mon cerveau me disait « tu le feras mieux toi-même »).
Exemple concret ?
Dans ma vie personnelle, j’ai arrêté de croire que je devais penser à tout pour tout le monde. J’ai partagé la charge mentale. Et devine quoi ? Ça fonctionne.
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4. J’ai arrêté de culpabiliser
C’est sûrement le point le plus important.
Parce que prendre du recul, déléguer, ralentir… ça ne sert à rien si derrière, on culpabilise de ne pas « tout faire parfaitement ».
Alors j’ai décidé une chose simple : m’écouter sans me juger.
- Si je suis fatiguée, je me repose (et pas après avoir fini mille tâches).
- Si je ressens du stress, je prends du temps pour moi sans me dire que je perds du temps.
- Si une tâche ne me convient plus, je cherche une autre façon de la faire, au lieu de me forcer.
Et petit à petit, j’ai retrouvé mon énergie.
Et toi, quelle clé vas-tu tester en premier ?
Si toi aussi tu ressens ce trop-plein, commence par une chose simple : autorise-toi à ralentir. Parce qu’au final, prendre soin de toi, c’est aussi prendre soin des autres.
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