On l’a tous déjà dit un jour :
- “J’essaierai de prendre du temps pour moi aujourd’hui.”
- “J’essaierai de manger plus sain.”
- “J’essaierai de me coucher plus tôt.”
Et au final, qu’est-ce qui se passe ?
On essaie… mais on ne fait pas.
Pourquoi ? Parce que notre cerveau adore laisser une porte de sortie.
Le piège du “j’essaie”
Le mot “j’essaie” peut sembler anodin, mais en réalité, il est redoutable. Il donne l’illusion de l’action, tout en laissant une excuse parfaite pour ne pas aller au bout des choses.
C’est comme dire :
🛑 “Je vais peut-être faire du sport demain.” → Donc il y a de grandes chances que je ne le fasse pas.
🛑 “Je vais essayer de mieux manger.” → Traduction : je garde une porte ouverte pour craquer sur ce qui me fait envie.
Et pourtant, on connaît tous cette phrase :
“Ceux qui veulent trouvent des solutions, ceux qui ne veulent pas trouvent des excuses.”
Passer de “j’essaie” à “je le fais”
Si au lieu de dire “j’essaie”, tu décidais simplement de dire “je le fais” ?
Parce que la vérité, c’est que la manière dont tu formules tes pensées influence tes actions.
- Je prends 30 minutes pour moi aujourd’hui.
- Je mets du vivant dans mon assiette.
- Je me couche plus tôt ce soir.
Pas de négociation, pas de place au doute. Juste action. 🚀
Un petit défi pour toi :
Aujourd’hui, choisis UNE chose que tu avais prévu “d’essayer”… et FAIS-LA !
Une seule. Juste pour voir la différence.
Et viens me dire en commentaire ce que ça a changé pour toi.
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